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La fiscalité des marchands de bien : ce qu'il faut savoir

29/04/2025
Jerome
fiscalite des marchands de bien

La fiscalité des marchands de biens peut vous permettre d'être imposé à seulement 15% sur les bénéfices jusqu'à 38 120 €, tandis que les particuliers peuvent être soumis à un taux marginal allant jusqu'à 45%, plus 17,2% de contributions sociales.

Cette différence significative n'est qu'un aspect des avantages fiscaux dont vous pouvez bénéficier en tant que marchand de biens. En effet, cette activité professionnelle, caractérisée par des transactions importantes tous les 6 à 18 mois, est soumise à un régime fiscal spécifique. Vos profits sont considérés comme des bénéfices industriels et commerciaux (BIC), ce qui entraîne une imposition marchand de biens distincte de celle applicable aux plus-values des particuliers.

Le statut marchand de biens fiscalité présente également d'autres avantages, notamment des frais de notaire réduits par rapport aux 7-8% habituellement payés par les particuliers. Cependant, pour profiter de ces avantages, vous devez respecter certaines conditions strictes, comme l'intention de revendre établie au moment de l'achat. La TVA marchand de biens constitue également un élément crucial à maîtriser, avec des taux variant de 5,5% à 20% selon le type de propriété et la nature des rénovations.

Dans cet article, nous examinerons en détail les différents aspects de la fiscalité marchand de biens, depuis les critères qui définissent ce statut jusqu'aux obligations fiscales que vous devez anticiper pour optimiser votre activité immobilière.

Sommaire :

Définir le statut de marchand de biens selon l’administration fiscale

Pour comprendre la fiscalité des marchands de biens, il est essentiel de bien définir ce statut particulier. L'administration fiscale française ne se base pas sur une simple déclaration, mais sur des critères précis qui déterminent si vous exercez réellement cette activité professionnelle.

Les critères d'habitude et d'intention spéculative

L'administration fiscale qualifie un marchand de biens selon deux critères fondamentaux: l'habitude et l'intention spéculative.

L'habitude fait référence à la répétition des opérations d'achat-revente. Cependant, il n'existe pas de seuil précis défini par la loi. Ainsi, vous pouvez être considéré comme marchand de biens même après une seule opération si d'autres éléments suggèrent une activité professionnelle. Par exemple, si vous achetez un immeuble entier pour le revendre par lots, cette unique opération peut suffire à vous qualifier.

Par ailleurs, l'intention spéculative doit être présente dès l'acquisition du bien. Cette intention est caractérisée par:

  1. La volonté de réaliser une plus-value à court terme
  2. L'absence d'intention de conserver le bien dans votre patrimoine personnel
  3. L'utilisation de connaissances professionnelles ou d'un réseau pour faciliter les transactions

Le délai entre l'achat et la revente est également un indicateur important. En effet, une revente rapide (généralement moins de 2 ans) suggère fortement une intention spéculative. Toutefois, ce n'est pas le seul critère décisif - l'administration fiscale examine l'ensemble des circonstances.

La qualification de marchand de biens est donc une question de fait, évaluée au cas par cas par l'administration fiscale. Celle-ci analyse notamment les moyens mis en œuvre, la fréquence des opérations, le financement utilisé, et votre profession principale.

Les types d'opérations concernées : immeubles, parts, fonds de commerce

Le champ d'application du statut marchand de biens fiscalité couvre diverses opérations immobilières et commerciales:

Les biens immobiliers représentent le cœur de l'activité traditionnelle du marchand de biens. Cela inclut les immeubles bâtis (appartements, maisons, immeubles de rapport), mais aussi les terrains à bâtir. L'achat d'un bien pour le revendre après division (parcellaire ou en lots) constitue une opération typique de marchand de biens.

En outre, l'activité peut s'étendre aux parts de sociétés immobilières. L'achat de parts de SCI (Société Civile Immobilière) dans le but de les revendre rapidement est également considéré comme une opération de marchand de biens. De même pour les titres de sociétés détenant principalement des actifs immobiliers.

Les fonds de commerce et droit au bail font aussi partie du périmètre d'action. L'acquisition et la revente de ces actifs commerciaux sont soumises au même régime fiscal si elles s'inscrivent dans une démarche spéculative et habituelle.

Cependant, certaines opérations sont explicitement exclues du régime de marchand de biens. Ainsi, la construction d'immeubles neufs pour la vente relève du statut de promoteur immobilier, avec une fiscalité différente. De même, la location meublée professionnelle suit son propre régime fiscal.

L'imposition marchand de biens varie donc selon la nature précise de vos opérations. C'est pourquoi il est crucial d'identifier correctement votre activité afin d'appliquer le régime fiscal approprié et d'éviter tout risque de requalification par l'administration fiscale.

Comprendre l’imposition du marchand de biens sur les bénéfices

L'imposition du marchand de biens s'articule autour d'un régime fiscal spécifique qui diffère considérablement de celui applicable aux particuliers. Cette fiscalité repose sur une logique commerciale, avec des conséquences importantes sur le calcul et le montant de vos impôts.

Traitement des bénéfices en BIC : revenus commerciaux

En tant que marchand de biens, vos profits sont systématiquement considérés comme des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Cette qualification fiscale découle directement du caractère commercial de votre activité d'achat-revente immobilière.

Contrairement aux particuliers qui vendent occasionnellement un bien immobilier et sont soumis au régime des plus-values immobilières, votre imposition marchand de biens porte sur la différence entre :

  • Le prix de vente du bien
  • Et son prix de revient total (prix d'achat + frais d'acquisition + coût des travaux + frais financiers)

Par ailleurs, vous pouvez également déduire vos charges d'exploitation : honoraires, frais de gestion, intérêts d'emprunt, assurances, et impôts locaux.

Ainsi, votre bénéfice imposable correspond à la marge réalisée sur chaque opération, après déduction de l'ensemble des frais engagés. Cette approche globale offre généralement une base imposable plus avantageuse que le régime des plus-values.

Différences entre impôt sur le revenu et impôt sur les sociétés

La fiscalité des marchands de biens varie considérablement selon que vous exercez en entreprise individuelle ou en société :

En entreprise individuelle, vos bénéfices sont soumis à l'impôt sur le revenu (IR) selon le barème progressif. Cependant, vous êtes également redevable des cotisations sociales des indépendants, qui représentent environ 45% du bénéfice. Cette charge sociale significative peut réduire l'attrait de ce statut malgré sa simplicité.

En revanche, si vous exercez en société soumise à l'impôt sur les sociétés (IS), les taux d'imposition sont généralement plus avantageux :

  • 15% jusqu'à 38 120 € de bénéfices
  • 25% au-delà

De plus, les dividendes que vous vous verserez seront soumis au prélèvement forfaitaire unique de 30% (flat tax), regroupant l'impôt sur le revenu (12,8%) et les prélèvements sociaux (17,2%).

Cette différence de traitement peut représenter une économie substantielle, notamment pour les opérations générant des marges importantes.

Cas des sociétés de personnes vs sociétés de capitaux

Le choix de la structure juridique influence directement votre fiscalité marchand de biens.

Les sociétés de personnes (SNC, SCI à l'IR) offrent la transparence fiscale : les bénéfices sont imposés directement entre les mains des associés, proportionnellement à leurs parts. Cette caractéristique permet notamment de compenser d'éventuels déficits immobiliers avec vos autres revenus. Toutefois, cette transparence s'accompagne d'une responsabilité illimitée des associés et d'un assujettissement aux cotisations sociales sur les bénéfices.

À l'opposé, les sociétés de capitaux (SARL, SAS) limitent votre responsabilité au montant de vos apports et offrent une fiscalité plus flexible. Ces structures permettent d'optimiser la répartition entre rémunération et dividendes, réduisant ainsi la pression fiscale globale. De plus, elles facilitent l'intégration d'associés investisseurs.

La SAS est particulièrement prisée pour son fonctionnement souple et sa capacité à attirer des investisseurs. Elle permet également de moduler la rémunération du dirigeant selon les performances, optimisant ainsi la charge fiscale et sociale.

En définitive, le choix entre ces différentes options dépend de votre situation personnelle, du volume d'activité envisagé et de votre stratégie patrimoniale. Une analyse approfondie, idéalement accompagnée par un expert-comptable spécialisé, reste indispensable pour déterminer la structure la plus avantageuse pour votre activité de marchand de biens.

Le régime de TVA marchand de biens selon le type de travaux

La TVA marchand de biens représente un élément crucial de la fiscalité immobilière professionnelle, variant considérablement selon le type de travaux réalisés. Ce régime spécifique peut avoir un impact significatif sur la rentabilité de vos opérations d'achat-revente.

TVA sur marge : conditions d'application

La TVA sur marge s'applique lorsque vous revendez un bien immobilier achevé depuis plus de 5 ans et n'ayant pas fait l'objet de travaux de rénovation lourde. Dans ce cas, la TVA est calculée uniquement sur votre marge bénéficiaire et non sur le prix total de vente.

Pour appliquer ce régime avantageux, deux conditions principales doivent être réunies :

  • Le bien immobilier doit être achevé depuis plus de 5 ans
  • Les travaux effectués ne doivent pas être considérés comme une "rénovation lourde"

La marge taxable est déterminée par la différence entre le prix de vente (augmenté des charges) et le prix d'achat initial. Le calcul s'effectue "en dedans" selon la formule suivante : Marge taxable = (prix de vente + charges - prix d'achat) / (100 + taux de TVA) × 100.

Ce régime est particulièrement intéressant lors de la revente de biens d'habitation à des particuliers qui ne peuvent pas récupérer la TVA, évitant ainsi une majoration du prix de 20%.

TVA sur le prix total : rénovation lourde et obligations

En revanche, la fiscalité marchand de biens prévoit l'application obligatoire de la TVA sur le prix total dans deux situations précises :

  1. Lorsque l'immeuble a moins de 5 ans après son achèvement
  2. Lorsque les travaux réalisés constituent une "rénovation lourde"

Une rénovation est considérée comme "lourde" lorsque les travaux rendent l'immeuble à l'état neuf en modifiant :

  • Soit la majorité des fondations
  • Soit la majorité des éléments porteurs
  • Soit la majorité des façades (hors ravalement)
  • Soit l'ensemble des six éléments du second œuvre pour au moins deux tiers de chacun d'entre eux (électricité, plomberie, planchers non porteurs, huisseries extérieures, cloisons intérieures, système de chauffage)

Dans cette situation, vous devez facturer la TVA sur l'intégralité du prix de vente. Toutefois, les droits d'enregistrement pour l'acquéreur sont réduits à 0,715% (au lieu de 5,80%).

Récupération de la TVA sur les travaux

La possibilité de récupérer la TVA sur les travaux dépend directement du régime de TVA applicable à la revente :

Pour les immeubles de plus de 5 ans avec rénovation légère, deux choix s'offrent à vous :

  • Sans option TVA : vous ne pouvez pas récupérer la TVA sur les travaux
  • Avec option TVA sur marge : vous pouvez récupérer la TVA sur les travaux

Par ailleurs, lorsque vous commercialisez des bureaux ou commerces, l'option pour la TVA est généralement avantageuse car elle permet de récupérer la TVA sur les travaux tout en négociant le prix sur une base HT si l'acheteur peut lui-même la récupérer.

En revanche, pour les locaux d'habitation, il est souvent préférable d'éviter que la revente soit soumise à la TVA, car le prix sera négocié sur une base TTC et vous devrez reverser cette TVA au Trésor. Néanmoins, si d'importants travaux de rénovation sont réalisés, l'option pour la TVA sur marge peut s'avérer avantageuse si la TVA déductible sur les travaux est supérieure à la TVA sur marge.

La TVA marchand de biens mérite donc une analyse approfondie pour chaque projet, idéalement avec l'aide d'un expert-comptable spécialisé, afin d'optimiser la rentabilité de vos opérations d'achat-revente immobilières.

Les frais de notaire et droits de mutation réduits

Parmi les avantages notables de la fiscalité des marchands de biens, la réduction significative des frais de notaire constitue un atout majeur pour optimiser vos opérations immobilières. En effet, alors que les particuliers acquittent des frais s'élevant à 7-8% dans l'ancien et 2-3% dans le neuf, vous pouvez, en tant que marchand de biens, bénéficier de frais réduits à environ 2-3%.

Exonérations possibles selon les articles du CGI

L'article 1115 du Code général des impôts offre une exonération des droits de mutation à titre onéreux pour les marchands de biens assujettis à la TVA. Concrètement, vous êtes exonéré de la taxe de publicité foncière et des droits d'enregistrement, ce qui représente une économie d'environ 5% sur le prix d'achat.

Au lieu du taux normal de 5,80% (ou 5,09% dans certains départements comme l'Indre, le Morbihan et Mayotte), vous ne payez qu'un taux réduit de 0,715%. Cette exonération s'applique à toutes les opérations immobilières, quelles que soient leur nature :

  • Rénovations
  • Divisions de lots
  • Changements de destination
  • Constructions
  • Ventes en VEFA
  • Terrains à bâtir

Par ailleurs, l'article 1594-0 G du CGI prévoit également une exonération totale des droits de mutation si vous vous engagez à réaliser des travaux conduisant à la production d'un immeuble neuf.

Conditions de revente ou de travaux à respecter

Pour bénéficier de ces avantages fiscaux, vous devez respecter certaines conditions strictes. L'exonération liée à l'article 1115 du CGI est conditionnée à votre engagement formel de revendre le bien dans un délai de 5 ans suivant l'acquisition. Pour les opérations de vente à la découpe par lots, ce délai est réduit à 2 ans.

Attention, cet engagement doit impérativement être mentionné dans l'acte d'acquisition. Comme le souligne un spécialiste : "préciser au notaire que vous prenez cet engagement car il doit être pris dans l'acte d'acquisition. Après, c'est trop tard".

Si vous optez pour l'exonération prévue par l'article 1594-0 G, vous devez vous engager à effectuer, dans un délai de 4 ans, des travaux de réhabilitation rendant le bien à l'état neuf. Ces travaux peuvent concerner :

  • La construction d'un immeuble neuf
  • La surélévation d'un immeuble existant
  • La remise à neuf d'un immeuble ancien
  • L'achèvement d'un immeuble inachevé

En cas de non-respect des délais, l'administration fiscale peut exiger le paiement des droits de mutation initialement exonérés, majorés d'intérêts et de pénalités[194].

Les risques fiscaux et obligations à anticiper

Exercer l'activité de marchand de biens comporte non seulement des avantages fiscaux, mais également des obligations strictes et des risques substantiels en cas de non-conformité. Maîtriser ces aspects est essentiel pour sécuriser votre activité professionnelle.

Requalification fiscale en cas de mauvaise déclaration

La requalification fiscale représente un risque majeur pour les particuliers ou SCI réalisant des opérations d'achat-revente. L'administration fiscale peut considérer que ces opérations s'inscrivent dans une démarche commerciale plutôt que dans la simple gestion d'un patrimoine privé.

Les conséquences d'une telle requalification sont sévères. D'abord, les bénéfices seront soumis à l'impôt sur les sociétés ou aux BIC au lieu du régime plus avantageux des plus-values immobilières. Par exemple, au lieu d'une imposition à 36,2% comme particulier, le taux pourrait atteindre 62,2% si le profit est imposé dans la tranche marginale à 45%. En outre, des majorations de 10%, 40% ou 80% peuvent s'appliquer selon les cas.

Par ailleurs, les ventes réalisées seront assujetties à la TVA immobilière, avec un rappel potentiel de TVA même si elle n'a pas été mentionnée dans l'acte de vente.

Obligations comptables et déclaratives

En matière de fiscalité marchand de biens, plusieurs obligations déclaratives s'imposent :

  • Déclarer le début d'activité dans le délai d'un mois auprès de l'administration fiscale
  • Tenir un répertoire chronologique détaillant tous les actes liés à la profession (mandats, promesses de vente, actes translatifs)
  • Faire enregistrer tous ces actes dans un délai de dix jours s'ils ne sont pas rédigés par un notaire
  • Présenter ce répertoire à toute demande des agents des impôts
  • Souscrire annuellement une liasse fiscale complète (bilan, compte de résultat)
  • Effectuer des déclarations mensuelles ou trimestrielles de TVA

Le non-respect de ces obligations expose à des amendes (de 100F à 1000F selon les cas), ainsi qu'à l'intérêt de retard de 0,75% par mois et des majorations pouvant atteindre 80% des montants éludés.

Assurances obligatoires : décennale et dommages-ouvrage

La loi Spinetta de 1978 impose aux marchands de biens deux assurances obligatoires :

L'assurance dommages-ouvrage doit être souscrite avant l'ouverture de tout chantier de rénovation ou réhabilitation. Elle couvre les vices et malfaçons menaçant la solidité du bâtiment pendant 10 ans après l'achèvement des travaux. Cette garantie permet d'indemniser rapidement les propriétaires sans attendre une décision judiciaire.

L'assurance responsabilité décennale est également obligatoire car le marchand de biens est assimilé à un constructeur non-réalisateur. Elle protège contre les dommages pouvant affecter la solidité de l'ouvrage.

En cas de non-respect de l'obligation de souscrire l'assurance dommages-ouvrage, vous risquez jusqu'à 6 mois d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende. Néanmoins, ces assurances représentent également une protection et un argument commercial auprès des futurs acquéreurs.

Conclusion

La fiscalité des marchands de biens présente donc des avantages considérables par rapport au régime applicable aux particuliers. Néanmoins, cette fiscalité avantageuse s'accompagne d'obligations strictes qui ne doivent pas être négligées.

Tout d'abord, le statut de marchand de biens vous permet de bénéficier d'une imposition à taux réduit, notamment grâce au régime des BIC qui offre une meilleure optimisation fiscale que le régime des plus-values immobilières des particuliers. Ainsi, vous pouvez être imposé à seulement 15% sur les bénéfices jusqu'à 38 120 € si vous optez pour une société soumise à l'IS.

Par ailleurs, les frais de notaire réduits à environ 2-3% au lieu des 7-8% habituels constituent un atout majeur qui améliore significativement la rentabilité de vos opérations. Cette réduction, cependant, est conditionnée à votre engagement de revendre dans un délai de 5 ans, voire 2 ans pour les ventes à la découpe.

La question de la TVA marchand de biens mérite également toute votre attention. En effet, selon le type de travaux réalisés et la nature du bien, vous pourrez appliquer soit la TVA sur marge, soit la TVA sur le prix total, chaque option ayant des implications différentes sur votre rentabilité.

Toutefois, ces avantages s'accompagnent de risques non négligeables. La requalification fiscale, en cas de mauvaise déclaration, peut entraîner des conséquences financières lourdes avec des majorations pouvant atteindre 80% des montants éludés. À cela s'ajoutent des obligations comptables, déclaratives et d'assurance qui doivent être scrupuleusement respectées.

Compte tenu de la complexité de ce régime fiscal, il est vivement recommandé de vous faire accompagner par un expert-comptable spécialisé dans l'immobilier et la fiscalité. Ce professionnel pourra vous aider à structurer vos opérations de manière optimale et à éviter les pièges fiscaux qui pourraient compromettre la rentabilité de votre activité.

En définitive, la fiscalité des marchands de biens représente un levier d'optimisation puissant pour les professionnels de l'immobilier, à condition de bien maîtriser ses spécificités et de respecter scrupuleusement les obligations qui y sont associées.

Nos expert-comptable et leurs équipes peuvent répondre à toutes vos interrogations concernant cette notion. Notre cabinet d'expertise comptable situé à Paris 12 reste joignable par téléphone et par mail ou sur rendez-vous.

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